Bon, je me rends compte que plus le temps passe, plus les fils textiles que j’installe sur les lampes sont longs. C’est comme ça, par générosité, ou par peur que ce soit trop court, ou les deux…
Pour les lampes à poser et les lampadaires, ça n’est pas vraiment un souci. C’est plutôt sympa même d’avoir un fil long, ça permet d’aller jusqu’à la prise même si elle n’est pas à coté, en évitant une rallonge disgracieuse. Et puis même si la prise est à coté, comme les fils sont jolis, c’est plutôt bien vu.
Mais pour les suspensions vintage, c’est pas tout à fait pareil. Si la suspension touche par terre, ou plutôt si on est obligé de faire le tour pour ne pas se cogner dedans, c’est moins sympa !
Si vous avez un plafond haut, un fil long est top, mais si vous avez un plafond à 2m et quelques petites brouettes, comme la plupart des habitations, et bien un fil long c’est… pas vraiment pratique. On voit bien le fil, ça c’est sûre, et c’est super parce que les fils sont vraiment jolis. Mais bon, pour m’être cogné plusieurs fois la tête dans la dernière que j’ai installé pour le shooting photo, au bout d’un moment, c’est juste énervant, beauté du fil ou non !
Bref, tout ça pour vous dire que lors de la dernière commande, on m’a demandé si je pouvais ajuster le fil à la dimension exacte attendue. Et effectivement, je l’ai fait avec grand plaisir ! Je peux tout à fait vous raccourcir le fil pour le mettre à la dimension souhaitée. Merci Ophélie pour l’idée.
Voilà, tout ça pour vous dire cela, ok, certains des fils sont longs, mais comme le disait ma grand-mère :
Qui peut le plus, peut le moins !
Alors lorsqu vous commandez une suspension vintage avec fil textile, n’hésitez pas à me demander d’ajuster le fil à la longueur qui conviendra le mieux là où vous souhaitez l’installer. Quitte à l’avoir restauré, autant que j’aille jusqu’au bout en vous l’ajustant à la longueur adéquate. Et pour les suspensions sur lesquels je sais que j’ai été généreux sur la longueur du fil, je vous le demanderai avant de vous l’envoyer.
Crédit photo : Patricia Serna sur Unsplash
